Suite de notre tour d’Europe des systèmes de formation professionnelle : la formation continue dans les pays scandinaves, les royaumes de la flexisécurité – Suède, Danemark, Norvège.
Gestion de la formation
La gestion des formations obligatoires est une tâche fastidieuse : identifier les formations, les suivre, les renouveler… dans un domaine où l’erreur peut coûter cher. L’externalisation peut s’avérer une solution payante.
La réforme de la formation change la définition et l’environnement de l’action de formation dans l’entreprise. En quoi cela impacte-t-il le processus de recueil des besoins de formation des salariés ?
La classe virtuelle est-elle une version « low cost » de la formation en présentiel ? Dans ce premier de 2 articles consacrés à cette modalité, nous nous intéressons à ses avantages spécifiques.
Troisième étape de notre tour d’Europe des systèmes de formation professionnelle : l’Espagne, avec un système récent, très centralisé, en partie inspiré du modèle français d’obligation de dépense.
Les ordonnances de septembre 2017 misent sur le dialogue social dans l’entreprise. Un renforcement des moyens en matière de formation des élus du personnel était annoncé. Qu’en est-il ?
Deuxième étape de notre tour d’Europe des systèmes de formation professionnelle : le Royaume-Uni. Un système peu régulé, avec quelques aides publiques, mais dominé par l’entreprise et la formation en interne.
La formation professionnelle en Allemagne suit un modèle très différent du français : décentralisée, financée par les entreprises et les particuliers, reposant davantage sur la formation informelle – mais aussi sur la formation initiale en alternance.
L’évaluation à froid de la formation – transfert des savoirs en situation de travail, retour sur attentes – est une démarche bien perçue, mais plus rarement mise en oeuvre. Comment passer des paroles aux actes ?
Y a-t-il une exception française en matière de formation professionnelle ? Il semble bien que oui, si l’on en croit les travaux du Cedefop sur la formation en Europe.